Coup d’œil sur un poème de Marie Noël
Mon Dieu qui dormez faible entre mes bras,
Mon enfant tout chaud sur mon coeur qui bat,
J’adore en mes mains et berce étonnée
La merveille, ô Dieu, que m’avez donnée.
Mon Dieu qui dormez faible entre mes bras,
Mon enfant tout chaud sur mon coeur qui bat,
J’adore en mes mains et berce étonnée
La merveille, ô Dieu, que m’avez donnée.
Je vous propose d’adopter aujourd’hui le mode « poésie » ; ce qui ne signifie pas mettre nos cerveaux en mode « farniente » ou sommeil profond. Poésie, donc, avec Marie Noël dont beaucoup connaissent à peine le nom, ni l’orthographe : Marie, sans tiret ; Noël comme la fête du même nom et nullement Marie-Noëlle, un prénom familier.
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