Coup d’œil sur un poème de Marie Noël
Mon Dieu qui dormez faible entre mes bras,
Mon enfant tout chaud sur mon coeur qui bat,
J’adore en mes mains et berce étonnée
La merveille, ô Dieu, que m’avez donnée.
Mon Dieu qui dormez faible entre mes bras,
Mon enfant tout chaud sur mon coeur qui bat,
J’adore en mes mains et berce étonnée
La merveille, ô Dieu, que m’avez donnée.
Il y a des jours ou les patrons et les saints ne suffisent pas… Alors il faut prendre son courage à deux mains Et s’adresser directement à celle qui est
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